La Haute-Marne

et ses villages


Localisation et histoire des villages

ACCEUIL HAUTE-MARNE

Bourmont

Brainville-sur-Meuse

Céffonds

Flancourt ; La Grève

Châteauvillain

Clinchamp
Créancey
Dancevoir
Droyes
Frampas
Graffigny-Chemin
Hâcourt
Harréville-les-Chanteurs
Huilliécourt
Illoud
Laferté-sur-Aube
Latrecey
Longchamp
Longeville-sur-la-Laines
Louze
Malincourt-les-Graffigny
Montier-en-Der
Nijon
Ormoy-sur-Aube
Ozières
Planrupt
Puellemontier
Robert-Magny
Roche-sur-Marne
Saint-Thiébaut
Silvarouvres
Voillecomte

 


Vue Aérienne

Vue Aérienne

Vue Générale

L'Eglise

L'Eglise

L'Intérieur de l'Eglise

La Route de Ville sous Laferté

Les Halles

 

Entrée du Pays- Coté Nord

 

Entrée du Pays par la Route de Montigny-sur-Aube

 

Une Maison du Village

Laferté-sur-Aube

Anciennes dénomination: La Ferté-sur-Aube , Laferté

Le village, situé à 220 mètres d'altitude, est traversé par l'Aube, la rivière la Maze et le ruisseau de Fins qui en sont les principaux cours d'eau.

Tous les chroniqueurs avancent que Laferté est l'une des plus anciennes localités de la Champagne. Les documents apparaissent à partir du Xème siècle et font état d'un Normand nommé Achard, dont le fils, Nocher 1er, est le plus ancien comte connu de Bar-sur-Aube.

Vue Genérale

Le prieuré de La Ferté, dont la date de création remonterait à l'an 876 ou au début du XIème siècle, était avec ceux de Lanty, Latrecey, Marmesse et Silvarouvres, l'un des cinq prieuré importants de notre canton.

Les prieuré étaient, à l'origine, des colonies de religieux. Il y avait quatre types de prieurés : le type originel, qui était une ferme ou qui dépendait d'une abbaye, le type clunisien, qui dépendait de Cluny, les types cisterciens, qui jouèrent un rôle économique important au moyen âge, et tous les couvent en dehors de l'ordre bénédictin.

En 1791, les restes du prieuré firent l'objet d'une étude par l'architecte Antoine Brigonnet, de Chaumont, qui conclut son procès verbal en estimant sa valeur à 3080 livres étant donné la vétusté des bâtiments.

C'est Simon de Valois, comte de Crépy, de Valois, de Mantes et de Bar-sur-Aube, qui, en 1075, embrassa la vie monastique et fut à l'origine de la création de nombreux prieurés dont ceux de notre région. C'est lui aussi qui fit construire la forteresse qui dominait le prieuré et qui donna naissance au bourg de La Ferté. La sœur de Simon, Adélaïde, hérita de La Ferté et épousa le comte de Champagne Thibaut 1er en 1075.

 

Pendant plus de deux siècles, il y eut des seigneurs de La Ferté dont la généalogie se termina avec Jean de La Ferté dit aussi Le Roux, fils de Jacques de Latrecey, en 1255.

Les habitants de La Ferté avaient été affranchis en 1231 par le comte Thibaut ; Cette charte, particulièrement libérale, fit des habitants, des bourgeois. Elle leur accordait un maire et douze échevins, la prévôté, la basse justice, la reconnaissance de leurs usages (bois, rivières, pâturages), le droit d'héritage, d'achat et de vente.

En 1224, le comté fut réuni à la couronne de France avec le reste de la Champagne.

Une Vue sur le Canal

La Ferté a éprouvé à diverses reprises, toutes les calamités que la guerre provoque. Vers 1434, le bourg fut ravagé par les Anglais et les Bourguignons. En 1437, ce furent les écorcheurs. Pendant la Ligue, les habitants firent alliance avec les Chaumontais. La ville fut attaquée par les royalistes, parmi lesquels se trouvaient sans doute leurs proches voisins de Châteauvillain.

Après cette période, la misère s'installa jusqu'au règne de Louis XV, et avec elle, les maladies. Entre 1593 et 1597, la destruction du bourg fut totale, il ne resta rien du château, des murailles, des tours et des portes.

Chef lieu de canton à l'époque de la révolution, elle à été rattachée à celui de Châteauvillain.

Place de la Halle

En 1804, Laferté comptait 1029 habitants, en 1878, il y en avait 1100 et au recensement de 1975, il n'y en avait plus que 480. En 2011, la commune comptait 371 habitants.

 

Entrée du village.

 La commune de LAFERTE compte à elle seule 5 sites historiques classés, inscrits ou simplement étudiés pour leur caractère remarquable. Il s'agit de :

- un ancien moulin, usine de menuiserie (appelé aussi tournerie autrefois) ayant appartenue à la famille THEVENARD,
- une ancienne affinerie, tréfilerie (forge comtoise) devenue ensuite menuiserie SCHOEPS, BOURLIER et Cie,
- un moulin dit « à Foulon » : usine de construction mécanique
- les anciennes Halles du village qui datent du 2ème quart du 19e siècle
- l'église Sainte-Marie-Madeleine date, elle, de la 2ème moitié du 18ème siècle – 2ème quart du 19ème siècle.

 

La Mécanique

Le Lavoir

Situation

 


Agrandir le plan

Haut de page

 

Début

Fin

ROYER

1675

1733

 


Vue Générale

 

Vue Générale

 

La Rue Centrale

 

La Rue de la Route

 

Une Vue sur le Canal

 

La Rue des Moulins

 

L'Hôtel de Ville

 

 

Vue sur l'Aube

 

L'Orne

 

Les Chasseurs

 

L'Usine Drioux

 

Le Pont des Grilles

 

Vue sur le Canal et le Lavoir

 

Le Moulin POTOT