La Haute-Marne

et ses villages


Localisation et histoire des villages

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L'Eglise

 

L'Eglise

 

L'Eglise de nos jours

 

Le Portail de l'Eglise

 

L'Abbé NIVARD

 

Ecole des Garçons

 

Le Pont Neuf

 

Le Pont sur la Droyes

 

Le Moulin des Granges

 

Le Moulin des Granges

 

Le Moulin des Granges

Droyes

 

En 2011, la commune comptait 416 habitants.

DROYES , commune du canton de Montierender, à 76 kilomètres de Chaumont, au confluent de la Droyes et de l'Héronne. Population 907 Habitants. Le territoire, qui est traversé par le chemin de grande communication n ° 13, a 2523 hectares d'étendue.

Vue Générale

Ecarts : les hameaux de Voy et des Granges; la Maison-Blanche; la tuilerie de Bertzillières et les fermes de la Grange-au-Bois, ancien prieuré, du haut et du bas Jard de la Fontaine-aux-Fèves, des Touchelles, des Orqères, du Gagnage de la paix, de l'abbaye de Hec et du Ru de Chevry.

Place de la Mairie

Au nord, sur la limite du département, est l'étang d'Aigremont. Cette importante commune possède 103 hectares de bois, 116 de terres, 38 de prés et 47 de friches. Elle a fondé, sous la direction des sœurs de la Providence, une école particulière pour les filles ; son église, dédiée en 1647 à la vierge en son assomption, a un desservant.

En 1789, cette église faisait partie du diocèse de Troyes, doyenné de Margerie; la paroisse dépendait sous le rapport politique, de l'élection de Vitry, généralité de Champagne, et ressortissait de la prévôté de Bar-sur-Aube au bailliage de Chaumont.

Les religieux de Montierender en étaient seigneurs, collateurs et décimeurs, Droyes paraît être l'un des premiers centres de population fondés par Berchaire. Dom Baillet y fait même naître le moine Daguin, assassin du saint abbé.

Rue du Commerce

Ce qu'il y a de certain c'est qu'au IXe siècle déjà ce village comptait vingt-cinq familles groupées autour d'une église et qu'au XIIe il formait l'un des plus importants domaines de la seigneurie de l'abbaye. On prétend qu'à cette époque il y avait un couvent de femmes au lieu dit Les Abimeux, où il existe encore un puits.

Jusqu'au XIIIe siècle, le comte de Champagne, sans doute comme gardien de Montierender, posséda une rue de Droyes, mais en 1269, Henry, fils de Thibaut le chansonnier comte de Rosnay, la vendit aux moines moyennant cinq cents livres de Provins forts. Les Habitants ne furent affranchis de la main-morte qu'en 1511, avec les autres serfs de l'abbaye.

Au XIVe siècle, un homme de Droyes, qui avait fait tonsurer son fils sans la permission de son seigneur s'était vu condamner aux assises de Bar « à ôter et faire ôter lesdites tonsures de clerc réellement et de fait et en faire amende. »

L'église Notre-Dame de l'Assomption, fortifiée, date du XII e  siècle et fut reconstruite en 1647

L'église paraît avoir été dédiée anciennement à S. Nicolas. La dévotion à ce saint évêque a toujours été grande dans la paroisse, qui avait fondé en son honneur, en 1376, du consentement des religieux et du roi, une confrérie à laquelle étaient affiliés un grand nombres d'habitants des villages voisins.

On remarquait dans les statuts cette prescription. « Li confrères et consueurs de monsieur Saint-Nicolas feront un dîner ensemble le jour de la dicte fête et paiera chacun son échos, et qui deffaut au dîner, il doit pour le deffaut douze denier, et si doit paier pour les dépens des prestres et des clercs qui font le service et pour les menesteretz, syle y en a, autant comme ceux qui sont au dîner. »

L'Eglise

L église de Droyes qui montre extérieurement au pourtour du chœur des meurtrières taillées dans des pierres rapportées, appartient, comme celle de Céffonds, aux trois principales époques architectonique. La nef, qui est éclairée par dix fenêtres étroites et à plein centre, est, ainsi que les bas-côtés, dans le style roman ; au chœur et aux transepts domine l'ogive, et la chapelle des fonts est de la renaissance. Les fenêtres du chœur et des transepts étaient autrefois garnies de vitraux coloriés ; mais il n'en reste plus que des fragments au milieu desquels on a peine à reconnaître la légende de S.Nicolas, l'arbre de Jessé et le martyre de S.Etienne. Ces vitraux étaient du XVIe siècle, comme ceux de Céffonds, et l'un des fragments porte le millésime 1548. On remarque encore dans cette église un tableau sur bois, fort ancien, représentant le crucifiement du Christ ; à droite et à gauche S.Nicolas et Ste Catherine.

Rue de la Haie

DROYES , rivière qui se jette dans l'Héronne affluent de la Voire. Elle sort des étangs de la forêt du Der, arrose un canton du département de l'Aube et rentre dans la Haute-Marne où elle donne son nom à une commune.On l'appelait anciennement la Drée (Drea). 

Texte tiré de La Haute-Marne ancienne et moderne,

Dictionnaire de Emile JOLIBOIS paru en 1858

 

Rue du Papillon

 

Situation

 


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Haut de page

 

Début

Fin

COEFFIER

1692

1738

DAVENET

1640

1704

GODART

1638

1694

GOUJAT

1738

1738

 


Autres Cartes

Vue Générale

 

L'Entrée du Village

L'Entrée du Village- L'Eglise et la Mairie

 

La Place et la Rue de la Haye

 

Rue de la Haie

 

Rue de la Haie

Rue Papillon

 

Rue des Alliés

 

Rue de la Chapelle

 

Rue de la Chapelle

 

Avenue du Grand Pont - Ecole des Garçons

 

Le Pont Neuf - Rue Papillon

 

Le Pont Neuf et le Lavoir

 

Un Campement de Bohémiens devant l'Eglise

 

Le Pont sur l'Héronne