Localisation et histoire des villages Cartes Postales |
|---|
|
Mes ancêtres et la conscription
|
|
La foire aux patronymes |
Ils étaient...
Vignerons |
Laboureurs |
Manouvriers |
Scieurs de long |
Couturières |
|---|---|---|---|---|
Voituriers |
Cordonniers |
Fileurs de laine |
Cordiers |
Charrons |
Meuniers |
Tanneurs |
Les Laboureurs
Il possédait des terrains, des chevaux, des bœufs, il avait une ou plusieurs charrues, chariots ou charrettes. Il devient après la Révolution cultivateur ou propriétaire et même… rentier.
C'est le métier le plus fréquemment rencontré chez mes ancêtres avec les manouvriers et les vignerons.
Les Vignerons
On les retrouvent surtout dans les villages de Créancey et Ormoy sur Aube et aussi dans l'Aube autour de Chavanges
Antoine Casimir PICARD
(1818-1885)
scieur de long à Larzicourt tout comme son père et son grand-père
Scieurs de long
Un scieur de long est un ouvrier dont le métier consiste à débiter les troncs dans le sens de la longueur, et non de la largeur, c'est à dire sur plusieurs mètres, afin de confectionner des poutres, planches, etc.
Mon grand-père
Octave CHAMPAGNE
(1885-1935)
était le charron
Le charron
L'activité principale du charron était la fabrication de roues en bois. Le cerclage des roues par une bande de métal était en principe le travail du forgeron, mais la plupart des charrons s'en chargaient par eux-mêmes et beaucoup cumulaient les deux métiers.
Mon aîeul
Antoine de Brienne
tanneur à Céffonds vers 1610 tout comme son père et son grand-père
Le Tanneur apprête les peaux de manière qu'elles soient inébranlables et impénétrables à l'eau, en les pénétrant avec l'écorce des jeunes chênes, mis en poudre dans un moulin à tan.
Mon arriere grand-père
Eugène FOISSEY
(1866-1923)
meunier à Illoud tout comme son père et son grand-père
Les meuniers
En Lorraine, moulins à eau (dans d’autres régions moulins à vent). Le meunier (munier, mulnier) est un paysan comme les autres. Il appartient au Seigneur du lieu ou à une abbaye. Il payait un fermage, soit en argent soit en nature. Il signait un contrat : on les retrouve aux Archives Départementales. Il avait besoin de payer une caution elle l'était souvent par les parents pour un jeune qui reprenait le moulin ; c'est pourquoi la transmission se faisait presque chaque fois de père en fils. Il se payait en prélevant 10 % de la farine si les fermiers n’avaient pas d’argent. Le métier s’apprenait par imprégnation depuis l’enfance. On mariait les moulins. Il employait souvent une domesticité, une servante, un journalier. Il avait quelques bêtes pour transporter la farine ou les grains.
Mon aîeul
cordier à Bourmont
Les cordiers
Ouvrier qui fait des cordes, marchand qui en vend.
Le matériau le plus employé est le chanvre. Le cordier peut aussi utiliser du lin, du tilleul ou du crin.